Michel Bouquet, Juliette Carre-Bouquet, Julie de Bona, Christian Bouillette, Pierre-Alain Chapuis, Olivier Claverie, Pierre Forest, Sylvain Machac, Patrick Payet, Sébastien Rognoni, Hélène Seuzaret, Pierre Val
Résumé
« Le Malade imaginaire, pièce mystérieuse… Ecrite par un homme profondément malade qui met en scène un personnage en pleine santé, on est ébloui par la puissance de l’auteur et son courage à se moquer de lui-même. En allant à la rencontre de ce "malade" que je croyais connaître, j’ai été frappé de redécouvrir à quel point l’auteur chemine au plus profond et au plus obscur de l’humain. Molière a écrit une superbe comédie, sans doute la plus désespérée. Le rire libérateur est fracassant : c’est peut-être la guérison. »
Georges Werler
Pourquoi faut-il voir cette pièce ?
UN GRAND ENFANT. Un classique irrésistible du répertoire français, dominé par Michel Bouquet. L’acteur de 83 ans qui interprète le malade pour la 3e fois de sa carrière en saisit les différentes facettes, la beauté comme la laideur. Sa fragilité donne au personnage une innocence touchante. Le spectacle est construit autour de Michel Bouquet, qui occupe, dans son fauteuil de souffreteux le centre de la scène, mais l’ensemble est joué avec une belle gaité et se termine dans un grand final, splendide, qui nous relie aux problématiques d'aujourd'hui par temps de Covid.
Tournage
Coproduction La Compagnie des Indes, Théâtre de la Porte Saint Martin - Réalisateur Patrick Czaplinski - Théâtre de la Porte Saint Martin - 2009
Piste(s) pédagogique(s) :
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« Le Malade imaginaire, pièce mystérieuse… Ecrite par un homme profondément malade qui met en scène un personnage en pleine santé, on est ébloui par la puissance de l’auteur et son courage à se moquer de lui-même. En allant à la rencontre de ce "malade" que je croyais connaître, j’ai été frappé de redécouvrir à quel point l’auteur chemine au plus profond et au plus obscur de l’humain. Molière a écrit une superbe comédie, sans doute la plus désespérée. Le rire libérateur est fracassant : c’est peut-être la guérison. »
Georges Werler
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